Nous dénonçons fermement les attaques portées contre le projet de programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS). Ce programme doit être adopté et se mettre en place en complément de l’application effective des 3 séances annuelles obligatoires énoncées par la loi de 2001 (actuellement seulement 15% des élèves en bénéficient pendant leur scolarité).